Vie quotidienne

Non cet hiver je ne prendrai pas de poids !

Je voudrais souligner un fait dont les médias ne nous parlent pas. Oui on nous cache la vérité, on nous ment !

En effet, les pluies verglaçantes et les tempêtes de neiges ne sont pas les seuls désagréments de notre cher hiver Québécois. Mesdames et messieurs, je vous parle de la prise de poids ! Et avec cette histoire de pandémie on frise la catastrophe…

Non ce n’est pas une légende urbaine, et d’ailleurs sachez que les nouveaux arrivants prennent en moyenne entre 4 à 5 kilos*… Mais ça personne ne vous le dit à l’aéroport !

La faute à qui à quoi ? Je pense qu’il y a trois explications plausibles :

  • Les difficultés d’adaptation au climat hivernal font que nous sortons moins, bougons moins ;
  • La découverte de nouvelles saveurs, qui sont souvent des produits riches…trop riches;
  • Bien entendu la pandémie n’arrange rien.

Alors comment vous introduire cela, mmmh autant tout vous dévoiler.  Suite à mon arrivée à Montréal, j’avais pris 7 kilos. Oui jugez-moi 7 ! Je ressemblais à un petit saucisson dans mes vêtements. Monter les escaliers en tenant une discussion il fallait juste…oublier.

Mais en même temps, je vous rappelle que les Cupcakes, les Carrot-cakes, les Tartes à la noix de pécan et les Cheese-cakes sont à disposition à tous les coins de rues ici. Avez-vous vu la variété d’Oreos qu’il y a au Canada ? Avez-vous gouté à la Wonderland bar ? À la glace au beurre de cacahuète ? Et je ne vous parle même pas de toutes les sortes de chips qu’il existe, ni de l’ensemble des chaines de Fast-food. Et puis, donnez-moi des noms, qui mais qui a inventé les frites de patates douces * à plonger dans de la mayonnaise saveur Chiplote bien évidemment * ?! C’est le diable ce truc vraiment, n’y goutez jamais. Et puis la Poutine, ahhhhhh la Poutine (cœurs dans les yeux). Bref, pas ma faute !

Heureusement, un jour, j’ai croisé la route d’une bonne âme qui m’a trainé amené dans une salle de sport. Mais pas n’importe laquelle ! Il s’agissait d’un endroit qui offrait des cours collectifs, un concept assez rependu à Montréal. Renforcement musculairede cardioZumfitBoot CampFull body circuit and co ça vous parle ?

Mais le plus important, c’est l’atmosphère positive de ces endroits. On s’encourage, on s’entraide, on se sent de suite à l’aise et ça nous à motive à souffrir revenir . 

J’y ai rencontré Keena-Lou Gray Lanoixcoach sportif et conseillère en nutrition qui me suit encore aujourd’hui. Moralité après plusieurs mois de squats, de push-ups, de crushes, de burpees (en anglais you know) et à l’aide d’une alimentation santé j’ai réussi à perdre mes 7 kilos. Mais j’ai également gagné en muscle héhé.

Oui, aujourd’hui, les salles de sport sont fermées mais il y a toujours un moyen de faire bouger son body :

  • Les applications gratuites c’est fantastique !

J’ai connu les applis Nike quand j’ai commencé à courir, je les trouve géniales. Nike training me permet d’obtenir des cours plus ou moins similaires à ceux que je suivais en salle. Des cours sont offerts selon vos objectifs, ils sont accompagnés de vidéos explicatives et d’une voix qui vous guide dans l’exercice. Et vous pouvez même vous monter un programme personnalisé !

  • Des cours sur ZOOM please !

Pour atteindre ses objectifs on a souvent besoin d’être suivi par un coach. De plus, lorsqu’il s’agit de perdre du poids c’est, selon moi, très important d’avoir également un suivi en nutrition.  Sachez que Keena offre des cours privés sur ZoomContactez-la, c’est une personne passionnée qui vous mènera au-delà de vos objectifs (Cliquez ici).

  • God save les parcs !

À Montréal il y a des parcs partout, il vous est alors possible d’y prendre une marche quotidienne (oui oui ! Et 30 minutes par jour même). En hiver, vous pourrez y faire du ski de fond, du patin à glacedes randonnées en raquettesdu vélo tout terrainde la course et pour les p’tis foufous de la luge ! (Liste des parcs et carte)

Force et honneur, prenez soin de vous et bon hiver à tous !

* La transformation des saines habitudes de vie des immigrants, réalisée par Pierre Sergia et Alain Girard du Laboratoire de recherche sur la santé et l’immigration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM)

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